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Gestion des doctorats

espo | Louvain-la-Neuve, Mons

Bienvenue sur le site du doctorat en Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication

Un doctorat, c'est quoi ?

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Faire un doctorat, pourquoi ?

Être doctorant·e, c’est être 3 personnes à la fois : un·e étudiant·e, un·e chercheur·euse et un·e travailleur·euse. À l’UCLouvain, nous l’avons bien compris, c’est pour cela que le doctorat constitue :

  • Une formation complète : Dispensée par les meilleur·e·s enseignant·e·s dans leur discipline, la formation doctorale permet de développer des connaissances disciplinaires de haut niveau et d’acquérir de précieuses compétences transversales comme la gestion de projet, la vulgarisation scientifique, le transfert de technologies, la création de spin-offs,… Réaliser un doctorat, c’est aussi développer des qualités et des compétences professionnelles indispensables sur le marché de l’emploi.
  • Une expérience de recherche unique. Effectuer un doctorat à l’UCLouvain constitue une expérience professionnelle de recherche à nulle autre pareille. Avec la liberté de s’immerger pleinement dans un sujet qui vous intéresse et de l’explorer au plus profond durant plusieurs années. C’est également la promesse d’une aventure humaine, souvent au sein d’une équipe en contact avec la communauté scientifique internationale. À la clé : de nombreuses rencontres et un challenge permanent. 
  • Une opportunité de contribuer à l’évolution de la société. A l’UCLouvain, nous considérons que la recherche prend tout son sens lorsqu’elle répond aux besoins de la société et que ses résultats y sont valorisables. C’est pourquoi le·la doctorant·e est sensibilisé·e et accompagné·e dans la démarche de transfert de connaissance et de technologie.

Vous souhaitez entamer un doctorat en économie, en communication ou en sciences politiques ? Vous trouverez ici toutes les informations nécessaires pour déposer votre candidature.

  • Placeholder image
    Virginia Fanny Faccenda - Gouverner l'itinérance syrienne
    06 Nov
    06 Nov
    ...

    La Rectrice de l'Université catholique de Louvain fait savoir que

    Virginia Fanny Faccenda

    soutiendra publiquement sa dissertation

    Gouverner l'itinérance syrienne.

    "Génération Assad" en Belgique et analyse du pouvoir off-site (1970-2000)

    pour l'obtention du grade de Doctorat en Sciences politiques et sociales

    le 6 novembre 2024 à 16h

    au P61 (Saint-Louis Bruxelles)

     

    Résumé

    Que nous apprend l’itinérance de la « génération Assad » en Belgique sur les modes de gouvernement en Syrie entre 1970 et 2000 ? Cette thèse reconstruit trois trajectoires de Syriens appartenant à la « génération Assad » (1970-2000) en Belgique : la quête d’un diplôme (1970-1980), d’un emploi (1980-1990) et la demande d’une protection internationale (1990-2000). Sur la base de ces trois trajectoires, la thèse examine les transformations des modes de gouvernement en Syrie dans ces séquences temporelles spécifiques. La recherche combine ethnographie, archives et entretiens, permettant l’analyse d’une variété de dispositifs tels que les universités, les configurations de marché et les églises.

    L’articulation de ces trajectoires d’itinérance avec l’étude de l’exercice du pouvoir en Syrie permet de mettre en lumière l’articulation de différentes logiques — économiques, politiques, confessionnelles et éducatives — et de multiples configurations d’acteurs — l’État syrien, les citoyens syriens itinérants et l’État belge. Ce travail va donc au-delà du binôme fuite forcée-répression, pour montrer un éventail d’arrangements et de possibilités d’itinérance. La génération Assad permet ainsi de reconstruire des manières d’exercer le pouvoir qui contribuent à renouveler les débats sur la relation entre l’État et la mobilité.

    Abstract

    This thesis reconstructs three trajectories of Syrians belonging to the Assad generation (1970–2000) in Belgium: seeking a degree (1970–1980), employment (1980–1990) and international protection (1990–2000). Based on these three trajectories, the thesis examines the transformations of ways of governing in Syria during these specific times. The research combines ethnography, archives and interviews, allowing for the analysis of a variety of instruments and devices such as universities, market configurations, churches. Linking these trajectories of itinerancy with the exercise of power in Syria highlights the articulation of different logics – economic, political, confessional and educational – and multiple configurations of actors – the Syrian state, itinerant Syrian citizens and the Belgian state. This work therefore goes beyond the binomial relationship between forced migration and repression to show a range of arrangements, possibilities and ways of becoming itinerant. In this way, the Assad generation is thus making it possible to reconstruct ways of exercising power that help to renew debates on the relationship between the State and mobility.

     

    Les membres du jury :

    Prof. Denis Duez (UCLouvain Saint-Louis Bruxelles), promoteur et secrétaire

    Prof. Florence Delmotte (UCLouvain Saint-Louis Bruxelles), présidente

    Prof. Irene Bono (Université de Turin), membre du comité d’accompagnement

    Prof. Jihane Sfeir (Université libre de Bruxelles), membre du comité d’accompagnement

    Dr. Laura Ruiz de Elvira (CEPED- Université Paris Cité et Institut de recherche pour le développement), évaluatrice externe

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    Virginia Fanny Faccenda - Gouverner l'itinérance syrienne
    06 Nov
    06 Nov
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    La Rectrice de l'Université catholique de Louvain fait savoir que

    Virginia Fanny Faccenda

    soutiendra publiquement sa dissertation

    Gouverner l'itinérance syrienne.

    "Génération Assad" en Belgique et analyse du pouvoir off-site (1970-2000)

    pour l'obtention du grade de Doctorat en Sciences politiques et sociales

    le 6 novembre 2024 à 16h

    au P61 (Saint-Louis Bruxelles)

     

    Résumé

    Que nous apprend l’itinérance de la « génération Assad » en Belgique sur les modes de gouvernement en Syrie entre 1970 et 2000 ? Cette thèse reconstruit trois trajectoires de Syriens appartenant à la « génération Assad » (1970-2000) en Belgique : la quête d’un diplôme (1970-1980), d’un emploi (1980-1990) et la demande d’une protection internationale (1990-2000). Sur la base de ces trois trajectoires, la thèse examine les transformations des modes de gouvernement en Syrie dans ces séquences temporelles spécifiques. La recherche combine ethnographie, archives et entretiens, permettant l’analyse d’une variété de dispositifs tels que les universités, les configurations de marché et les églises.

    L’articulation de ces trajectoires d’itinérance avec l’étude de l’exercice du pouvoir en Syrie permet de mettre en lumière l’articulation de différentes logiques — économiques, politiques, confessionnelles et éducatives — et de multiples configurations d’acteurs — l’État syrien, les citoyens syriens itinérants et l’État belge. Ce travail va donc au-delà du binôme fuite forcée-répression, pour montrer un éventail d’arrangements et de possibilités d’itinérance. La génération Assad permet ainsi de reconstruire des manières d’exercer le pouvoir qui contribuent à renouveler les débats sur la relation entre l’État et la mobilité.

    Abstract

    This thesis reconstructs three trajectories of Syrians belonging to the Assad generation (1970–2000) in Belgium: seeking a degree (1970–1980), employment (1980–1990) and international protection (1990–2000). Based on these three trajectories, the thesis examines the transformations of ways of governing in Syria during these specific times. The research combines ethnography, archives and interviews, allowing for the analysis of a variety of instruments and devices such as universities, market configurations, churches. Linking these trajectories of itinerancy with the exercise of power in Syria highlights the articulation of different logics – economic, political, confessional and educational – and multiple configurations of actors – the Syrian state, itinerant Syrian citizens and the Belgian state. This work therefore goes beyond the binomial relationship between forced migration and repression to show a range of arrangements, possibilities and ways of becoming itinerant. In this way, the Assad generation is thus making it possible to reconstruct ways of exercising power that help to renew debates on the relationship between the State and mobility.

     

    Les membres du jury :

    Prof. Denis Duez (UCLouvain Saint-Louis Bruxelles), promoteur et secrétaire

    Prof. Florence Delmotte (UCLouvain Saint-Louis Bruxelles), présidente

    Prof. Irene Bono (Université de Turin), membre du comité d’accompagnement

    Prof. Jihane Sfeir (Université libre de Bruxelles), membre du comité d’accompagnement

    Dr. Laura Ruiz de Elvira (CEPED- Université Paris Cité et Institut de recherche pour le développement), évaluatrice externe